Engagé dans un cinéma documentaire innovant, autour de thèmes comme l’économie solidaire et l’éducation alternative, il a réalisé, entre autres : « AMAP Valromey », sur le fonctionnement d’une AMAP, « Paroles de Scopeurs », sur des acteurs de SCOP et SCIC, « Combat pour une SCOP, histoire de la lutte du collectif ECOPLA », en fin de production et « ELEF, monnaie locale et citoyenne ».

Il tourne une série de documentaires sur des mémoires collectives locales, comme : « Musée Saint Rambert en Bugey », « Fruitiers, mémoire d’un métier », « Traces d’une occupation italienne » et « 8 Mont-Blanc ou une expérience montagnarde » et « Le plus bel endroit du monde ».

Dans son trajet accompli et passionné par la culture, il a réalisé aussi : « Philémon et Baucis » Vidéo création pour l’Opéra de Lyon/Théâtre du Fust, « Voyage musical » avec Jiripoca Band et les élèves du CRR de Chambéry, « Oliway » vidéo documentaire et une autre pour Jiripoca Band, etc.

Depuis 2000, il développe régulièrement, avec brio et sensibilité, des Interventions pédagogiques et de formation en éducation à l’image aboutissant à la réalisation de films participatifs : avec des collégiens et des Lycéens, sur des thématiques environnementales et sociétales comme au Collège de Barby, Lycée de Rumilly, Collège d’Annecy… Avec des jeunes du Centre Social de la Duchère : « Tour de la Duchère » et avec des détenus, en centre pénitentiaire avec : « Je suis un cadeau » Court métrage, d’Aiton-Nikon Film Festival 2018.

Probablement, sans le savoir, vous avez vu des films pour le cinéma et à la télévision où Philippe Thomas était le chef opérateur à : Canal + « François Gabart, coureur au large », France 3, Série de 16 documentaires sur l’Homosexualité, France O « La cité de Dieu », France 5 « La loi des plus faibles », Pink TV « Plus rose ma ville », Planète TV « Enquête d’identité », France 3 « Le plus bel endroit du monde », entre autres.

Depuis toujours, Philippe Thomas, révèle des réalités singulières avec beaucoup d’humanité et un brin de sens critique, comme un poète de l’image, dans un trajet à géométrie variable, accompli et toujours passionné, par ce qu’il fait.